Comment ça marche ?
La Kinésiologie est une approche globale de l’être qui prend en compte sa structure, sa biochimie et son psychisme. L'objectif principal est de stimuler les forces d’auto-guérison et aussi d’augmenter le bien-être en équilibrant les énergies.
La kinésiologie fonctionne à partir d’un modèle qui permet d’appréhender les difficultés d’une personne, à différents niveaux: physique, émotionnel, psychologique et énergétique ; à cela s’ajoutent les peurs, les croyances et les habitudes.
Le physique fait référence à la structure, les muscles, les os.
L’émotionnel explore la gamme des émotions, les plus intéressantes étant celles qui n’ont pu être exprimées.
Le psychologique est le domaine du mental, des idées.
L’énergétique fait le lien entre les trois précédents, véhiculant des informations de et vers ces trois niveaux
L'outil essentiel de la Kinésiologie est le test musculaire manuel.
Il détecte les déséquilibres, mais surtout quelles solutions, dans l’éventail des possibilités des outils de la kinésiologie, sont appropriées à ce moment de la vie de la personne testée.
Le muscle étant dans une très légère tension le kinésiologue applique sur ce muscle une légère poussée. Sous l'effet de cette pression minime, le muscle va pouvoir maintenir la même position ou bien "lâcher". Il s'agit d'un test énergétique et absolument pas d'un test de force. Il fait l'originalité de la kinésiologie et de son approche depuis ses débuts jusqu'à ce jour.
La Kinésiologie travaille essentiellement sur la mémoire des différentes formes de stress bloquant le bon fonctionnement de la personne.
Pour cela, la Kinésiologie permet de naviguer dans les différentes périodes de temps afin de rechercher les informations nécessaires pour trouver de nouvelles solutions.
Cette exploration du temps permet aussi de faire des corrections au moment approprié, dès l’origine du problème.
Le test musculaire permet d’indiquer et de réveiller des structures de mémoires dans les différents contextes (physique, émotionnel, psychologique, énergétique) et de les corriger comme si la personne était encore à l’âge de la cause du problème.
